Le Comorien (Ikililou Dhoinine) plus courageux que le malgache (Rajaonarimampianina) face à la France.

  Les Comores considèrent comme « illégal » le fait d’avoir intégré l’île de Mayotte comme un département français, depuis le réferendum de 2011. Le président comorien, Ikililou Dhoinine, n’a pas manqué de demander, et d’une manière sans détour « la restitution de l’île de Mayotte » aux Comores. De régler le différend entre les deux pays. Un grand merci et bravo au président comorien.

Le président malgache, Hery Rajaonarimampianina , lors de son discours a volontairement « omis » « ignoré » le grave problème en suspens concernant les îles éparses appartenant à Madagascar… qui ont été annexé par la France en douce … Que nous qualifions de vol.  D’ailleurs la France a été désavouée par les différentes résolutions de l’ONU. Monsieur Hery Rajaonarimampianina pense (à juste titre de la part d’un putschiste, aidé par la France en 2009) que Madagascar est toujours sous tutelle française !!!

Malheureux président, les pieds et les mains liés et la parole « confisquée » ? Qu’il démissionne car il est incapable de nous représenter « dignement ». L’esprit patriote dans toutes les circonstances Monsieur Hery, sinon à quoi ça sert d’être le numero 1, pour terminer « bon dernier » et rejetté par tous ?

MCM de Paris.

 

1004369789.png

 

Océan Indien

 

Le président comorien appelle Hollande à régler le différend sur Mayotte

Clicanoo.re 24 Août 2014.

 
 François Hollande a été accueilli par le président comorien Ikililou Dhoinine.

 Après avoir inauguré la nouvelle aérogare, sur Petite Terre, de l’aéroport qui dessert Mayotte, François Hollande a pris la direction de la république des Comores pour le 4e sommet de la COI.

Le président comorien Ikililou Dhoinine a appelé avec insistance son homologue français François Hollande à régler le différend sur la souveraineté de Mayotte qui oppose leurs deux pays depuis des décennies, ouvrant le 4e sommet de la Commission de l’océan Indien à Moroni.

« Les Comoriens espèrent que les discussions entamées pour la résolution du différend qui oppose notre pays au vôtre, la France, sur la question de Mayotte nous permettront de parvenir à un dénouement heureux, conformément aux résolutions des Nations unies », a déclaré Ikililou Dhoinine à la tribune du sommet, en présence de François Hollande, impassible.

Revendiquée par Moroni, Mayotte est administrée par la France depuis l’accession des Comores à l’indépendance en juillet 1975. L’île est devenue le 101e département français en 2011.

Le président comorien, évoquant Mayotte, a parlé de « la quatrième île des Comores » alors que sur les routes de Grande Comores des pancartes proclament : « Mayotte est comorienne et le restera à jamais ».

Selon le site internet d’information, le Journal de Mayotte, le président français avait affirmé la veille que « les Comores ne peuvent plus revendiquer Mayotte », ajoutant que « la question n’est plus négociable », lors d’un entretien avec la presse locale.

Chaleureusement applaudi, Ikililou Dhoinine a également appelé à « mettre fin définitivement à un drame humain qui détruit quotidiennement des familles comoriennes », dans une allusion aux dizaines de Comoriens qui se noient chaque année en tentant de rejoindre Mayotte par la mer.

« Il n’y aura pas de lutte contre l’immigration clandestine, s’il n’y a pas un combat pour le développement des Comores », a déclaré François Hollande lors de son discours.

L’archipel des Comores, l’un des pays les plus pauvres d’Afrique, n’est qu’à 70 kilomètres des côtes de Mayotte et ses habitants sont nombreux à risquer la traversée sur des embarcations de fortune, les kwassa kwassa.

Dans une allusion au « visa Balladur » qui encadre strictement depuis 1994 la circulation entre les Comores et Mayotte, le chef de l’Etat comorien a appelé à « stopper définitivement » le « drame » de ces migrants. « Elles sont nombreuses les victimes du visa instauré depuis 94 », a-t-il souligné.

Evoquant des « drames tragiques » lors d’une conférence de presse à l’issue du sommet, François Hollande a estimé « qu’il ne peut y avoir de libéralisation des visas que si il y a une maîtrise de l’immigration ».

« Je suis à la fois ferme et ouvert sur l’avenir », a-t-il enchaîné, précisant que cette question devait être traitée par le Haut conseil paritaire récemment créé par les deux pays.

« Nous devons travailler ensemble », avait-il déclaré à la tribune du sommet, ajoutant qu’ »il n’y aura pas de lutte contre l’immigration clandestine s’il n’y a pas un combat pour le développement, et notamment pour le développement des Comores ». Après avoir annulé la dette des Comores.

 
 
 
1004369789.png
 
 
 

L’inutile Sommet de Moroni. Palabres et allégence à… la France.

Les îles éparses aux oubliettes.

 

Hery Rajaonarimampianina : «Il nous faut une indianocéanie solidaire»

Poignée de main entre Rajaonarimampianina et François Hollande, après son discours

25.08.2014 | 8:25 Actualités, Politique0

«Je lance un appel solennel à tous à serrer nos rangs, à unir nos forces, à parler d’une seule voix, celle d’une Indianocéanie forte et solidaire », a déclaré Hery Rajaonari­mampianina à l’occasion de son allocution à la tribune du IVe Sommet de la Commission de l’océan Indien (COI) samedi, à Moroni, Comores, lors de la séance de clôture. Et le numéro Un malgache d’ajouter : « De notre côté, nous nous engageons à porter haut et fort nos valeurs et à défendre nos intérêts auprès des instances régionales et internationales tout au long de cette présidence malgache, et même au-delà, afin de protéger et de préserver les intérêts de la région. »
Madagascar assume la présidence  de la COI. Les chefs d’État et de gouvernement de la COI qui se sont réunis à Moroni, sous la présidence de Rajaonarimampianina, ont basé leur déclaration finale sur le thème « L’Indianocéanie, un avenir à bâtir ensemble ». C’est un espace qui a dépassé la relation de coopération technique, institué il y a 30 ans à Victoria, pour être solidaire et avoir des actions authentiques. L’Indianocéanie est basée sur la géographie et l’histoire des peuples, tout en respectant les singularités et la souveraineté de chacun des États membres.
Un réengagement pour la promotion des intérêts à long terme de l’Indianocéanie a été annoncé en vue du développement durable, du tourisme, de l’innovation, de la conservation et la gestion durable des ressources marines et halieutiques, de la promotion d’une « économie bleue et océanique, créatrice d’emplois et de croissance ».

Soutien à de l’Estrac
En présence de François Hollande, les chefs d’État et de gouvernement de l’océan Indien apportent unanimement leur soutien à Jean Claude de l’Estrac.

Au premier rang, le président Hery Rajaonarimampianina. Il a mis en exergue « la dynamique de Jean Claude de l’Estrac qui est pour beaucoup dans la montée en puissance de la COI ». Par la voix de son président, le gouvernement de la Grande île a solennellement apporté son appui à la candidature de l’île Maurice à la Francophonie.
Clôturant le Sommet de la COI, le président de l’Union des Comores, Ikililou Dhoinine, a exprimé sa confiance dans la capacité de Jean Claude de l’Estrac à lancer une nouvelle étape « dans la vie de notre Organisation internationale de la Francophonie ». C’est ainsi qu’il a fait part du soutien déterminé de son pays au candidat mauricien « porté par les vagues de l’océan Indien ».

 

Lova Emmanuel

http://www.lexpressmada.com/blog/actualites/hery-rajaonarimampianina-il-nous-faut-une-indianoceanie-solidaire-16371

 

1004369789.png

 

Rappel. ONU, Mayotte. La France qui colonise.

AG DES NATIONS UNIS 24 SEPT 2010

 

 

 1004369789.png

 

 

1004369789.png

 

Mayotte, tu resteras COMORIENNE.

 

 

 

1004369789.png

 

Retour sur le Sommet de la COI

Madagascar, timoré et peu agressif

lundi 1er septembre 2014, par Valis

Qu’a-t-on retenu de la réunion au sommet des pays membres de la Commission de l’Océan Indien (COI) ? C’est la présidence de Madagascar. Mais cette présidence n’a pas montré de véritable politique ni stratégie de développement de son pays. Contrairement à l’Union des Comores qui a hébergé l’événement et qui a profité de la présence du président français pour réclamer le retour de l’île de Mayotte au sein de l’Union des Comores, le président de la COI et président de la République de Madagascar n’a pas osé publiquement revendiquer l’application des résolutions des Nations Unies sur les îles éparses qui doivent être restituées à la République malgache. Il n’a pas non plus réclamé la restitution des richesses minières et faunistiques et forestières saisies dans les pays membres de la COI (or, tortues, bois précieux). Il n’a pas évoqué la libre circulation des personnes entre les pays membres de la COI.

Ce que l’on a également retenu, c’est cette facilité de l’actuel secrétaire général de la COI à convaincre les chefs d’État de la COI à appuyer sa candidature à la tête de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Par rapport à Madagascar dont les potentiels, les richesses et patrimoines (ressources humaines, histoire, littérature, enseignement, diplomatie), sont de très loin plus francophones que ceux de l’île Maurice, voilà qu’un homme d’affaires mauricien, un politicien et diplomate à la fois, manifeste son ambition de diriger la Francophonie pour succéder à Abdou Diouf.

Le géant du sud-ouest de l’Océan indien n’a rien trouvé à redire. Il n’a pas de vision et ne sait pas profiter de ses acquis. Les Jean Joseph Rabearivelo, Jean Verdi Salomon Razakandraina alias Dox ou encore Jacques Rabemanjara et Raymond William Rabemananjara, ou Césaire Rabenoro… des personnalités de renom mondial ou du moins du monde francophone, doivent se retourner dans leur tombe en voyant cet attentisme des intellectuels francophones malgaches qui sont sclérosés par on ne sait quoi.

Le président Hery Rajaonarimampianina a appelé à une rapide et intégrale application des accords de partenariat économique (APE) avec l’Union européenne au grand dam des opérateurs locaux qui se sentient démunis par le déferlement des marchandises étrangères ; mais aussi, au grand regret de l’administration douanière dont les recettes se raréfient progressivement.

La vision du pays qui se dégage de ce Sommet est de faire de Madagascar le grenier alimentaire des pays de la COI. Ce qui est tout à l’avantage de notre agriculture mais encore faut-il préserver les petites exploitations agricoles et promouvoir l’agriculture familiale face aux grandes exploitations agricoles qui risquent d’accaparer les terres cultivables. Il en est de même des espèces animales endémiques ou domestiques qui risquent d’être anéanties.

Enfin ce que l’on a retenu par la suite en marge du Sommet de la COI, c’est le vif souhait de Madagascar d’accueillir le Sommet de la Francophonie en 2016.

http://www.madagascar-tribune.com/Madagascar-timore-et-peu-agressif,20213.html

 

A propos Mouvement des Citoyens Malagasy de Paris

Pour une prise de conscience citoyenne des Malagasy
Cet article, publié dans Non classé, est tagué , , , , , , , , , . Ajoutez ce permalien à vos favoris.

Un commentaire pour Le Comorien (Ikililou Dhoinine) plus courageux que le malgache (Rajaonarimampianina) face à la France.

  1. Ahmed salim dit :

    Comorien et Malgash soyon unis contre la france colonisatrice qui detruit nos 2 pays qui nous vole pille et humilie nos terre il vienne faire des coup d’etat dans nos pays renverse nos gouvernement pille nos richesse et maintenant qu’on c’est que les comores madagascar et le mozambique sont rempli de pétrole et de gaz il nous destabilise soyon unis au nom de notre histoire commune les zanatane les antalote les sakalva merina et comorien soyons patriotique et demasquon les traître pro francais de nos pays

Laisser un commentaire